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Il y a comme un espoir, pas tout à fait
formulé, qu'il puisse y avoir quelque chose à
découvrir ou à exploiter dans l(es)
hypothétique(s) retrouvaille(s) entre ceux qui ont participe aux
meilleurs moments de notre histoire.
Il y a le rève de trouver une solution
à tous ses problème alors même que l'on ne connait
pas la nature de ces problèmes, ni la nature ou l'orientation
que pourrait prendre une solution.
Devant l'insatisfaction, il se creerait un manque ou
une question claire et en même temps se construirait la
réponse.
Je suis dans l'attente. Je ne sais pas à quoi
cela pourrait être bon. Je ne sais pas ce que je veux, ce que
j'attends, ce que cela donnera. Que ce soit face au groupe, ou face aux
individus.
La recherche de soi, de ce que l'on peut
être, l'aspiration à se dépasser, qui pourrait
prendre exemple sur l'autre, tiré pas les possibles mise en
actes, vois l'horizon des possible se concrétiser. Il se peut
qu'il y ait là ce que l'on n'ose concevoir, mettre en mots et en
vie, ou qu'au contraire de la confrontation naisse l'évidence
d'un processus de recherche, significative d'une certaine
insatisfaction ou d'une recherche d'absolu, d'un idéal pas tout
à fait atteint, ou atteignable.
Il y a -de moindre importance- cette question
lancinante d'une possible différence, particularité,
faite de dons motivés par une certaine envie d'être, un
certains questionnement. Je m'étonne de ce que la selection
puisse se faire de telle ou telle manière, à tel ou tel
age. Et tant que la question reste, tant qu'elle n'est pas
posée, que personne n'y répond -pour soi, on ne peut y
répondre plus généralement, on ne peut savoir
combien il faut encore se donner du mal pour retrouver le groupe, les
individus qui en furent. (.../...)
Denis.