J'ai retrouvé avec le papier la liberté, la facilité d'écriture que j'avais trouvée il y a 10 ans avec le mail. (alors qu'aujourd'hui je me sens limité dans ma liberté d'écrire par le lieu -devant l'ordi- par le moment -quand l'ordi est allumé, après le boot s'il est éteint, et qu'il faut le rallumer- par le mode -clavier, ascii, ...- /comme je me sens limité par la feuille blanche 80g/m², A4, et le bic orange. Toute cette émotion que je ressens, en te lisant, en pensant à toi, en reflechissant, je ne voudrais pas y renoncer, l'écriture la prolonge, la fait vivre, je veux la vivre, la revivre, la partager, en tirer une oeuvre, une richesse ... mais je veux aussi accepter ton sentiment vis à vis de l'écriture La distance entre le papier et le mail n'est pas si grand ton mail contient ce que le papier appelle -et n'y a-t-il pas là justement un problème {le problème que tu signales quand tu dis ne pas avoir écrit ce que tu voulais écrire "juste deux mots" et ne pas avoir travailler alors que tu étais au labo}- et j'imagine la transition (mail --> papier) possible, mais je ne la souhaite* pas particulièrement {je m'exprime mal les mots ne collent pas à ma pensée, d'ou la note, qui ne suffit pas à exprimer ma pensée} (*) je le souhaite par projection de ce que je préfère pour moi, mais ce n'est pas forcement ce que tu préfères {d'ou le "pas particulierement"} ce que je souhaite, c'est un partage, un retour, que ce soit par mail ou par papier {mais c'est plus complexe que cela, ici, je n'aborde que la question du mode de reponse, ailleurs, je crois que je vais plus loin dans l'explicitation de mon attente} {c'est plus clair maintenant, le "pas particulierement", c'est vis à vis du passage (mail-->papier), dans la mesure ou il y a un retour, le medium est secondaire, c'est ce que je voulais dire, et c'est seulement cela. Il ne signifie pas que je ne souhaite pas vraiment que tu me repondes}
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Denis.