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.../... mais c'est construire lentement une sensibilité, des
souvenir sensibles qui favorisent l'empatie, l'interet pour l'autre, la
récéptivité, qui donnent envie de lui donner du
temps ,de l'énergie, un peu de soi, de l'amour. Ce mouvement
vers le sensible peut prendre place n'importe quand j'espère et
ne n"cessite pas de prérequis, j'espère aussi. Il
demande, comme la connaissance rationnelle, d'etre ravivre
régulièrement. Les mots sont le vecteur naturel et
essentiel de la connaissanc, la rencontre est le lieu essentiel et
naturel du sensible. Une carence extreme peut-etre soigné si
nécessaire aussi bien par l'un (les mots ou la rencontre) que
par l'autre, mais l'un ira bien plus vite et sera plus fort. La carence
xxxxxx n'existe que si l'un et l'autre sont déficient, sinon
avec l'un et l'autre employé seul, il peut y avoir des carences
secondaires, des envies de plus, comme il peut toujours y avoir envie
de plus, meme plus de connaissance dans un echange de mots, c'est
à dire envie d'autres mots, de plus de mots, croire que c'est
une envie de rencontrer, c'est -je crois- soit se tromper, soit avoir
envie d'autre chose (et c'estr bien compréhensible d'avoir envie
de sensible. Nous ne somme pas des être de connaissance pure, si
on veut bien parler de soi à autrui ce n'est pas parce que l'on
a son CV détaille en main, mais parce que l'on a confiance en
lui, que la connaissance sensible que l'on a de lui le permet. On
ressent, plus que l'on sait, que l'on peut lui parler. Et la forme du
discours prendra en compte ce que l'on sait de lui, et aussi ce que
l'on ressent - mais autrement.)
Sur ce, pour ce soir,
je vous laisse,
bien à vous,
Denis.